Blågula Frågor est une petite organisation, qui a pour but d'informer et de participer aux débats sur la migration et autres questions politiques d'importance, pour l'avenir de la Suède. Notre activité s'étend principalement sur la publication d'un magazine et sur le développement de notre site Internet.

Directement traduit, le nom signifie "Questions bleu jaune" et il représente les deux couleurs du drapeau suédois. De ce fait, nous pouvons être considérés d'adeptes à une catégorie d'organisation nationaliste. Malheureusement il en ressort des malentendus. Quelques pages, contenues sur Internet, nous cataloguent de citoyens d'extrême droite, de racistes ou de nazis. Nous prétendons que ce n'est pas la vérité...

Les deux personnes qui animent Blågula Frågor - Jan Milld et Anders Sundholm - ont tous deux un passé de sympathisants de gauche et ils sont pacifistes. Au contraire de plusieurs gauchistes enthousiastes des années 1960, nous n'avons pas changé nos convictions de base, en dépit du vent politique qui a commencé à souffler dans une autre direction. Nos convictions sont encore identiques, quant à la démocratie, l'égalité, la justice, la solidarité internationale et le besoin d'une mesure d'économie bien dirigée.

Mais le fait de comprendre l'égalité et la solidarité internationale ne nous oblige pas d'avouer que l'immigration incontrôlée! Egalité ne signifie pas que n'importe qui puisse vivre n'importe où, puis d'être ainsi soutenu économiquement par les contribuables du pays d'accueil.

En outre les ressources sont parfois limitées et la meilleure manière de démontrer une solidarité internationale n'est pas de recevoir beaucoup d'immigrants; vu que ceux-ci ont fréquemment un passé d'activistes politiques.

N'importe qu'elle doit être la voie entreprise par la Suède, l'avis de son propre peuple doit être sollicité. Négliger les opinions des Suédois, comme c'est le cas actuellement - l'élite au pouvoir se trouve chez les médias, dans le Gouvernement et au Parlement - démontre un certain manque de respect. Un mot que l'élite moraliste utilise abondamment. Il y a tant d'hypocrisie et un abîme de folie.

De toute facon, en retournant aux accusations des extrêmistes de droite:

...nous ne pouvons pas comprendre, que seulement parce que nous voyons la réalité en face, avec ses problèmes et ses dilemmes, nous
devons abandonner nos idées fondamentales de justice! Prétendre cela, voudrait dire que nous devrions fermer les yeux et le cerveau pour pouvoir conserver nos opinions de gauche dans ce monde. N'est-ce pas incompréhensible?

Nous considérons qu'il faut:

1. Essayer de recevoir les données en clarifiant la situation le mieux possible, et en formulant la vérité.

2. Essayer de bâtir la situation la meilleure qu'il soit.

Actuellement le monde se trouve face à de problèmes graves, telles que la poussée démographique de la population et la polution dans l'environnement. Mais la solution à cela ne sera jamais résolue dans la migration des peuples d'Afrique et d'Asie, vers l'Europe. Certainement pas! Chaque peuple a une responsabilité à prendre pour l'avenir de son propre pays.

La Suède, durant ces quinze dernières années, a accordé des permissions permanentes de séjour à un demi million de personnes. Pour un pays aussi petit que le nôtre, qui possède un taux de chômage élevé et des problèmes économiques, cette situation va au-delà de ce que nous pouvons tolérer. Blågula Frågor prétend que l'immigration doit être limitée de façon plus efficace que jusqu'à maintenant.

Dans un même temps nous considérons que les immigrants qui sont déjà entrés en Suède, sont ici pour y rester et doivent faire partie à part entière de notre societé. De leur propre côté ils devraient montrer de l'ambition pour s'intégrer et s'assimiler à la population et à la societé suédoise, tout en ayant une attitude ouverte dans leurs rencontres. De l'autre côté, le mouvement nationalisme préféré, dont fait preuve Blågula Frågor, n'est pas d'exclure, mais plutôt d'inclure les étrangers établis.

Il en ressort de l'expérience suédoise, que les journalistes en général, et les médias en particulier, ne sont pas a se fier. Leur manière d'informer est alarmante et ils se donnent pour tâche de dénigrer de façon aberrante l'opinion publique par des campagnes de désinformation, alors qu'ils pourraient contribuer à entretenir un dialogue constructif en informant honnêtement leurs compatriotes.

Cela nous amène à citer le Front National de la France. Dans les médias suédois Le Pen et le FN n'ont jamais été mentionnés - pas même une fois - sans l'étiquette "extrême-droite". Ils n'ont même pas essayé d'expliquer ce que signifiait cet mot! Ni de quelle façon Le Pen est considéré comme un homme de droite... Ni comment et pourquoi son parti est "extrémiste"... Honnêtement nous ne savons pas. Car, en Suède, les médias nous ne aident guère, ne serait-ce seulement que pour montrer l'exemple.

Alors, notre conclusion est: laissez-nous - nationalistes démocratiques de pays d'horizons différents - utiliser Internet pour échanger des faits, des informations, des points de vue et opinions, dans le respect d'autrui!

Nationalistes démocratiques de tous pays - unissez-vous!